D’Arbre en
Arbre, notre forêt est faite d’histoires, d’arbres, de feu, d’humains. Forêt
bruissante de récits, de sons, d’images, de formes, paysages intimes,
imaginaires ou documentaires.
Comme un film long métrage où l’on embarque pour un voyage dans notre parcours
de Compagnie, où l’on voit des choses que tout oppose avoir besoin l’une de
l’autre, où une fois encore, le mieux est l’ennemi du bien, où l’on perçoit
l’intense complicité des arbres et des hommes, où l’on entend tous ces
voyageurs dont les arbres sont les témoins.
Arbres qui traversent le temps, lentement, lentement, qui s’adaptent,
lentement, patiemment, qui communiquent, s’entraident, ardemment. Entre l’arbre
et l’homme, une histoire de temporalité, de survie, de relativité, d’humanité
d’humilité.
C’est de cela dont il est question.